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| ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » | |
| Auteur | Message |
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Sujet: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Mer 1 Aoû - 1:07 | |
| isaac alfred coosby
"I'm sexy and I know it." Nom: Coosby ✿ Prénom(s): Isaac Alfred ✿ Age: 22 ans ✿ Date & lieu de naissance: 26 août 1989 à Coffs Harbour, Australie ✿ Profession/Etudes: Serveur au Yachtie Coffee, champion régional de surf et esclave au service de la pâtisserie de son père ✿ Statut civil: Célibataire ✿ Traits de caractère: enthousiaste, souriant, taquin, gourmand, blessant, impulsif, protecteur, dynamique, lucide, drôle, compétiteur, émotif, bordélique, malicieux ✿ Groupe: homeless ✿ Avatar: Colton Haynes ✿ et si je vous racontais une histoire?
« Allez, bouge toi de là, blaireau, c'est l'heure du surf. » Je saute au-dessus du canapé et m'y installe confortablement. Oh, pour un gosse de cinq ans, t'en prends de la place ! Je te pousse par terre, ah ! Voilà, c'est mieux. Tu me regardes avec des yeux ronds. Pauvre Léo, t'as encore rien compris à ce qu'il t’arrive, toi. Comme t'es vachement lent dans tes réactions, j'en profite pour te piquer la télécommande. La compétition de surf, c'est tellement mieux que tes dessins animés stupides. Un jour, ça sera moi sur l'écran. Un jour, on connaîtra mon nom partout. Un jour, je serai surfeur pro, mais pas aujourd'hui, j'ai un mioche qui me saute dessus pour avoir la télécommande. Comme quoi, t'es pas si lent que ça ! C'est rassurant, j'avais un doute sur tes capacités mentales ... Malgré toute la force que tu emploies pour avoir l'engin, je suis bien plus grand, bien plus fort, mais surtout, beaucoup plus intelligent que toi. Je préfère lâcher la boite noire pour te voir atterrir sur le vase de maman. Il a explosé en mille morceaux. Toi, t'as toujours rien compris, tu regardes tout autour de toi comme un touriste chinois émerveillé par un pigeon. J'en peux plus, j'explose de rire. T'as l'air tellement perdu ; tout petit au milieu du salon, assis sur sur plusieurs morceaux de vase, la télécommande en main, les yeux ronds et ton regard d'agneau apeuré qui regarde de gauche à droite pour essayer de comprendre. Je m'empare de la télécommande pour remettre tes dessins animés et j'te laisse là, au milieu des débris, pour partir dans la cuisine. Je sais que t'es pas blessé, c'est déjà bien.
Je referme à peine le frigo que j'entends des cris qui proviennent du salon. J'y retourne, sandwich en main. Papa et maman sont rentrés et maman t'engueule pour son vase. J'entre dans la pièce calmement et demande : « Qu'est-ce qu'il se passe ici ? » Tu me fixes, tes yeux pleins de larmes. « C'est Isaac, j'ai rien fait moi ! » Tu hurles aussi fort que tu peux. Mais moi, j'étais dans la cuisine et mon sandwich le prouve. Je te lance un petit sourire vainqueur quand tu passes à côté de moi pour aller dans ta chambre. Je savoure ma vengeance, elle a un goût de poulet grillé. C'est de ta faute après tout, fallait me laisser regarder la compétition de surf !
***
Debout sur ma planche de surf, je tente de garder l'équilibre. C'est plus facile que ça en a l'air. « Hé gamin, t'as pas envie d'aller essayer dans l'eau ? » Je descends de ma planche, mes pieds s'enfoncent dans le sable. Je suis du regard le groupe de garçons qui s’esclaffent en courant vers les vagues. Maman trouve qu'onze ans, c'est trop jeune pour surfer parce que c'est dangereux. Depuis quand j'écoute ma mère, moi ?! Je saisis ma planche et cours vers la mer bleue, elle m'appelle, elle n'attend que moi. A plat ventre, je remue les bras et j'attends, j'attends la vague parfaite. Elle arrive, je la vois, je la sens bien celle là. Je me lève, tiens debout deux secondes et tombe dans la flotte. Rome ne s'est pas faite en un jour, je remonte sur ma planche et attends une bonne vague.
Après une vingtaine d'essais, j'éclabousse ma planche, énervé. Je ne tiens jamais plus de quinze secondes sur le bout de polyester. Toutes ces heures à regarder les pros à la télévision, toutes ces heures à m'entraîner sur la plage n'ont servis à rien. « Alors petit, c'est pas aussi facile que sur le sable, hein ? » Je relève la tête, les gars de tout à l'heure, ils se foutent encore de moi. Je serre la mâchoire. Non, je ne me laisserai pas faire comme ça. Je remonte sur ma planche, cette fois, je vais réussir, je vais leur montrer que le petit gamin n'est pas un nul. Je veux surfer, je vais surfer et ils rigoleront bien moins.
Je m'élève sur la vague, le vent dans les cheveux, l'air marin dans les narines ; j'me sens bien. Quand j'arrive au bas de la vague, j'entreprends un petit virage, j'essaie de rester stable au niveau de mes genous. Faut pas que j'tremble, faut pas que j'tremble ! La vague rétrécit pour toucher le bord de la plage. Un bottom-turn, putain, j'ai réussi un bottom-turn ! Hé ouais, j'suis pas une merde moi. Je lance un sourire à la bande au groupe de gars, ils ne semblent pas impressionner ; logique, le bottom-turn, c'est pas vraiment une figure, mais c'est indispensable pour ensuite réaliser de puissantes manœuvres.
Le jour suivant, je m'entraîne, je veux réussir un truc spectaculaire. Je retourne à la plage le jour d'après et tous les autres jours de la semaine. Le surf, c'est la vie.
***
Je viens d'être engagé dans une pizzeria. Sans diplôme universitaire, j'ai pas vraiment trouvé mieux. J'arrive à 17 heures, je comprends pas vraiment pourquoi on doit arriver si tôt, y a jamais personne à cette heure-ci. Y a quasiment personne à part le manager qui me balance un t-shirt avec nom de la pizzeria et toi. Je t'ai tout de suite repérée, assise derrière le comptoir à lire tranquillement un livre.
Après m'être changé, je me pose à côté de toi. Je te regarde. Tu sais que je t'observe, mais tu m'ignores royalement. « Salut. », dis-je en dévoilant mon plus bleu sourire. Tu lèves la tête et tu réponds « Salut. » en souriant tout simplement avant de te replonger dans ton livre. Ok, ce n'est pas exactement ce à quoi je m'attendais, mais je ne lâche pas l'affaire pour autant. Je te tends ma main. « Je suis Isaac ... » Tu détaches les yeux de ton livre et finis ma phrase avant moi. « Coosby. Je sais. » Je lève un sourcil, surpris. « Un champion de surf, ça passe pas vraiment inaperçu. » Devant mon regard interrogateur, tu t'expliques : « Mon père est un grand passionné de surf et je pratique depuis que j'ai sept ans. » Je souris, des filles qui surfent depuis leur plus jeune âge, on en croise pas tous les jours. « Faudrait que tu me montres ce que tu sais faire alors. » Tu souris à ton tour. « T'as pas peur de te faire ridiculiser par une fille alors ? » « N'oublie pas que tu t'adresses au champion régional. », dis-je en rigolant. Ton rire se joint au mien. On parle toute la soirée en posant les pizzas dans leur boite en carton, en prenant les commandes, en servant les pizzas. Travailler devient presque drôle avec toi.
La fin du service approche, il est minuit passé. Je passe balai pendant que t'enfiles ta veste. Tu fais un signe de la main à tout le personnel et tu te diriges vers la porte. Je remarque la façon dont tu dégages les cheveux de ton épaule, la façon dont tes lèvres s'étirent quand tu souris, la façon dont tes yeux se plissent quand tu ris. Tu ouvres la porte et je me rends compte que j'ai oublié la chose la plus importante. « Hé », je m'écrie, « C'est quoi ton p'tit nom ? » « J'ai parié une pizza avec ... heu... Le gars à l'accent russe que tu me le demanderais pas. » Tu t'inclines sur le côté pour crier : « Il vient de me le demander, j'te dois une pizza ! » Je secoue la tête de gauche à droite en souriant, j'avoue, j'ai pas été très brillant. Le prénom, le premier truc qu'on demande en général. Débile sur les bords ? Ouais, un peu. « Savannah. » que tu me réponds avant de fermer la porte derrière toi.
***
J'en peux plus, j'ai mal au ventre, j'ai trop ri. Et dire que j'ai failli ne pas venir au mariage et raté ce spectacle. Je te regarde parler avec cette fille inconnue et avouons-le, elle est pas très belle et elle dégage une haleine très subtile qui ressemble à la merveilleuse fragrance de l'ail. Tu me lances des regards de détresse, je le sais bien, t'attends que ton grand frère vienne te secourir, mais c'est tellement plus drôle de te voir galérer tout seul que je reste assis sur ma chaise à manger ma part de gâteau. Gâteau au chocolat, les meilleurs. Je manque de m'étouffer avec un bout de gâteau quand je l'entends te demander de danser avec elle. J'en ris tellement que je suis couché sur la table et j'en ai les larmes aux yeux. Tu dois me lancer un regard de tueur en ce moment, mais je m'en fous, c'est trop drôle.
Après quelques minutes de danse et de séchage de larmes, je me décide à venir à ton secours. Je me dirige vers la piste de danse et commence à te caresser la joue. « Ah, t'es là mon lapin, je te cherchais partout. » Je passe ma main dans tes cheveux et je n'hésite pas à te donner un bisou sur la joue. La pauvre fille s'éloigne et invente une petite excuse pour s'éclipser. Quand elle est trop loin pour nous apercevoir, tu me repousses et je recommence à rire. « Oooh, mon petit koala serait-il grognon ? » Je repasse ma main dans tes cheveux. « Dégage Isaac ! T'es en train de me décoiffer. » T'essaies de remettre tes cheveux en place, mais je te prends dans mes bras et te serre comme une grosse peluche. « Mon roudoudou, je sais que tu m'aimes, dis-le moi. Dis-moi que tu m'aimes ! » Tu me repousses fortement en soupirant. « T'es qu'un boulet. » Mort de rire, je retourne à table. T'as beau pas le montrer très souvent, j'sais que tu m'adores !
***
J'introduis la clé dans la serrure. Comme chaque mardi, je m'attends à sentir l'odeur des cupcakes dans tout l'appart', je me prépare à faussement râler avant d'en engloutir une bonne fournée. Je pousse doucement la porte en reniflant. Rien. Pas d'odeur de cupcakes, pas même de bruit de pâte ardemment mélangée. Rien. A la place, je te vois plier un pull et le mettre dans une valise. Tout con, je demande : « Tu t'en vas ? » Tu relèves la tête, t'avais même pas remarqué que j'étais rentré. Tu baisses la tête et tu te remets à plier les vêtements. « Non, c'est toi qui t'en vas. » J'comprends pas très bien où tu veux en venir alors je m'emporte. « Comment ça je m'en vais ?! Mais j'ai pas envie de m'en aller, moi ! » Tu relèves la tête encore une fois vers moi. T'as les larmes aux yeux. J'ai envie de te prendre dans mes bras et de m'excuser, mais avant que je ne puisse faire un pas en avant, tu t'écries : « Ouais, bah moi j'en peux plus. J'en peux plus de faire semblant de t'aimer ! J'veux que tu partes, que tu prennes tes putain d'affaires avec toi et qu'tu dégages. » Tu sanglotes et tu détournes les yeux comme si je te dégoûtais. J'te l'montres pas, mais au fond, j'me sens mal, ouais, j'étais bien avec toi et le pire, c'était que je me disais que c'était peut-être même mieux que 'bien' entre toi et moi. Mais ça, je te le montres pas. Je te regarde et je m'avance vers toi. Tu préfères fixer le sol, ouais, je dois sûrement te dégoûter de trop pour que tu daignes me donner ne serait-ce qu'un putain de regard. Je ferme la valise, balance les clés de ton appartement à tes pieds et je m'en vais sans me retourner. C'est c'que tu voulais, non ?
Je prends ma pause. Je te regarde prendre une commande au comptoir. Tu sais que je t'observe, mais tu m'ignores comme le premier jour. « Tu devrais l'oublier. » me dit le type à côté de moi. On oubliait toujours son nom et on l'appelait le Russe à cause de son accent bizarre. On s'tapait des putain barres à l'imiter parfois. « Je sais. » Que répondre de plus que ça ? Je sais que je dois t'oublier, mais c'est pas comme si j'étais amoureux de toi ou comme si t'en valait la peine de toute façon. Je repense au moment où tu m'avais dit que j'étais le premier, le premier avec lequel t'aies eu une vraie relation sérieuse. Au début, j'me suis dit que j'étais chanceux. Maintenant, je comprends pourquoi t'en as jamais eu, si tu largues tous les gars de la même manière que tu m'as largué moi, c'est-à-dire, sans raison, c'est sûr que ça devait pas durer. « Je pense qu'elle peut pas le faire. », je dis plus pour moi-même que pour le Russe. « Faire quoi ? » Tu raccroches le téléphone et tu relèves la tête vers moi, nos yeux se croisent. « Etre avec quelqu'un .» Je sais que ça sera la dernière fois que je croiserai tes yeux parce que j'compte démissionner. Tu voulais que je dégage de ton appartement et en plus, je t'offre la liberté au boulot. Un bon deal, tu trouves pas ?
et derrière tout ça: c'est moi. Prénom, pseudo useless ✿ Age sixteen ✿ Où avez-vous trouvé le forum? sur PRD ✿ Un mot? panda!
Dernière édition par Isaac A. Coosby le Dim 5 Aoû - 22:06, édité 7 fois | Invité Invité
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Mer 1 Aoû - 8:01 | |
| le big Coosby j'en connais un qui va être super heureux au fait petit choupinou, je suis actuellement entrain de squatter votre super maison, donc, il nous faudra un lien obligé mon beau et sinon, bonne chance pour ta fiche | Invité Invité
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Mer 1 Aoû - 9:33 | |
| | Invité Invité
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Mer 1 Aoû - 9:43 | |
| Colton Bonne chance pour ta fiche! | Invité Invité
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| | | | | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Mer 1 Aoû - 11:22 | |
| Bienvenue parmi nous, très bon choix de scénario | Invité Invité
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Mer 1 Aoû - 11:28 | |
| Bienvenuue | Invité Invité
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Mer 1 Aoû - 15:24 | |
| BIENVENUUUUE un super mega giga fantastique lien s'impose ici, parce que l'hysterique en moi ne peut tenir en place! | Invité Invité
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Mer 1 Aoû - 20:38 | |
| Bienvenue sur le forum et bonne continuation | Invité Invité
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Jeu 2 Aoû - 11:07 | |
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Jeu 2 Aoû - 11:13 | |
| | Invité Invité
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Jeu 2 Aoû - 11:18 | |
| | Invité Invité
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Jeu 2 Aoû - 19:24 | |
| tu vas kiffer avoir une blondasse qui traîne en soutif dans ta baraque mec | Invité Invité
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| | | | | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Jeu 2 Aoû - 21:02 | |
| tu dis ça maintenant... (c'est Mini Coosby qui l'a fait ) | Invité Invité
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Jeu 2 Aoû - 22:45 | |
| HAMONDIEU. COLTON Bienvenuuue parmi nous | Invité Invité
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| | | | | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Dim 5 Aoû - 16:25 | |
| | Invité Invité
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Dim 5 Aoû - 18:26 | |
| Merci | Invité Invité
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| | | | | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » Lun 6 Aoû - 10:26 | |
| Comme ça plait à Léo, je te valide donc j'ai adoré lire ton histoire tu peux à présent faire tes scénarios, tes liens, tes rps et t'amuser comme un taré | A. Lewen Lockwood Admin
« A. Lewen Lockwood »
messages : 1053 célébrité : Emma Roberts
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| | | Sujet: Re: ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » | |
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| | | | ISAAC ϟ « I heard there was a party. Don't worry, I invited myself. » | |
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