ukà est né le 12.02.1987 à Hawaii dans une famille aux revenus plus que confortables. Il est fils unique. Malgré ses origines Américaine, Italiennes, il est de nationalité Américaine. En outre, il est actuellement avocat. Ses passions se tournent vers le kart, la fête, le sexe. Il est fiancé et hétéro. Enfin, il semblerait qu'il fasse parti du groupe don't stop the party.. À moins qu'on ne l'ait confondu avec Paul Wesley ?

Manpulateur ; Rancunier ; Moqueur ; Jaloux ; Infidèle ; Colérique ; Bagarreur ; Provocateur ; Joueur ; Sympathique ; Courageux ; Respecteux ; Mystérieux ; Dragueur .

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→ L’argent c’est tellement beau, le tenir entre ces bains et sentir l’odeur des billets. Avoir une grande villa au bord de la plage et de l’eau bleu turquoise. Avoir déjà plus d’un milliard de dollar sur son compte alors que j’ai seulement quelques jours. J’étais surement le gosse le plus riche d’Hawaii, ne chercher pas plus loin. Je suis là devant vous dans cette chambre blanche dans les bras de ma mère. Mon père se trouvait dans le fauteuil juste en face en train de terminer sa nuit. Nous n’étions pas seul dans cette chambre, il y avait une autre demoiselle et un homme celle-ci était enceinte aussi. Elle se promenait en fauteuil roulant et c’était plus précisément les amis de mes parents. J’étais encore bien trop jeune pour savoir ce qu’il m’attendait quand le petit enfant sera sorti du ventre de la dame. En effet deux familles riches qui s’entendent parfaitement ne peuvent que faire fiancer leurs enfants… Quelques jours plus tard, je partais dans une grande voiture pour rejoindre une grande maison, il y avait une piscine creusée ainsi qu’un jacuzzi sur la terrasse en bois surélevé qui donnait vu sur la plage et la mer. Après avoir été nourri, j’étais déposé dans un grand lit dans une chambre de couleur beige et bleu. Des couleurs très discrètes avec des meubles assez design, bref ce n’était pas la chambre d’un gamin de mon âge. Une semaine après, je me retrouvais déjà dans ce bâtiment si grand ou on entend crier des enfants. Je me trouvais précisément dans une chambre, assis sur les jambes de mon père je regardais ce bébé qui se trouvait dans les bras de sa mère. Je ne le quittais pas des yeux, j’étais absorbé par cette petite demoiselle aux yeux bruns. Pendant plusieurs jours je venais dans le même endroit pour y rester des heures et quand la nuit tombait je retournais chez moi dans ma chambre, dans mon lit. Les semaines et les mois sont passés si rapidement. Je marchais déjà et je prononçais quelques mots enfin je savais me faire comprendre à ma façon quoi… Je marchais parfois à quatre pattes pour rejoindre la chambre de mes parents. Je montais sur le lave-vaisselle et souvent je me faisais gronder et je n’avais pas le droit à mon petit beignet. Bref, vous pouvez comprendre que j’étais très bien éduqué et dès que je faisais un pas de travers j’étais directement remis sur le droit chemin. A l’âge de trois ans j’étais déjà à l’école, je devais apprendre à parler correctement à parler convenablement. Je n’avais donc pas le choix, je devais faire comme tous les autres gamins aller à l’école. C’est là que j’ai retrouvé mon amie, qui ? Cette belle brune que je connais depuis la clinique. La fille des amis de mes parents, je me trouvais à côté d’elle dans la salle de cour et j’étais en permanence avec elle durant la récréation. Pendant les siestes de l’après-midi mon matelas se trouvait à côté du siens. On était vraiment inséparable, on était lié comme les cinq doigts de la main. Les années sont passées rapidement et j’ai grandi très vite, oubliant un peu cette amitié avec Pacey. Plus je grandissais et moins je m’intéressais à cette demoiselle ce qui énervait énormément les parents. Mais après tout, j’avais le droit d’aimer ce qui je voulais non ? J’étais certainement en train de faire ma crise d’adolescence, j’étais magnifique et pleins de frics et ça je le savais parfaitement. Arrivé dans cette grande école, j’avais précisément onze ans et j’attaquais ma première année. Je me trouvais dans la même classe que la demoiselle et nous portions la même chevalière à la main. C’est à partir de ce jour-là que je comprenais le sens de cette chevalière.

C’est à partir de ce jour que tout changeait, que la vie prenait un nouveau tournant. Arrivé chez moi je déposais la chevalière sur la table. Personne n’avait le droit de me dicter ma vie, j’étais libre j’étais peut-être jeune, mais j’avais au moins mon mot à dire. Après une longue discussion ma chevalière se retrouvait de nouveau sur l’un de mes doigts. Des années passaient et j’étais devenu le tombeur, j’avais toutes les demoiselles à mes pieds ainsi que Pacey. Je couchais avec un peu tout le monde sans m’occuper de cette histoire de famille. Je profitais de la vie, je croquais dans la pomme à pleine dent. Après avoir eu ce petit diplôme j’entrais dans un lycée, j’avais déjà une idée en tête devenir Avocat. Mes parents étaient fière de mon choix et m’encourageait à aller le plus loin possible. Un bal avait été organisé dans ma villa. Il n’y avait que des familles très riches et j’étais bien sur le cavalier de cette charmante Pacey. Cette jeune fille que je ne connaissais pratiquement pas, pendant toute la soirée je dansais avec elle. Je faisais en quelque sorte connaissance avec elle, jusqu’à ce que nos parents arrivent… Ils avaient une coupe de champagne dans la main et un micro devant eux. La musique devenait juste un bruit de fond et ils se mirent à parler pour au final dire : « Nous vous présentons nos deux jeunes fiancés. » Une lumière s’était abattue sur nos deux corps. Nous étions là plantés au milieu de la piste de danse, mains dans la main. Nous étions alors fiancés sans avoir eu le temps d’en parler. La tête basse je lâchais un long soupire, les applaudissements pendant au moins cinq minutes et la musique reprenait le dessus. Depuis ce jour-là, j’habitais dans un appartement avec Pacey, d’ailleurs celle-ci ne disait rien. Elle n’avait pas l’air choqué et elle n’avait pas l’air contre tout ça… Bref, je passais mes journées avec elle et mes soirées je dormais avec elle. Mais au fond de moi il n’y avait rien, mon cœur ne battait pas pour elle, je ne l’aimais pas… Les années sont passées et j’ai eu mon diplôme d’Avocat et nous partions les deux pour coffs harbour. Une ville charmante, une grande villa que demander de plus pour bien vivre? Et qui sait, peut-être que les sentiments viendront avec le temps...