cénario est né(e) le date de naissance à ville natale dans une famille aux revenus insuffisants/modestes/confortables/plus que confortables. Il/Elle est fils/fille unique ou le/la cadet(te), aîné(e), benjamin(e) d'une fratrie de nombre d'enfants. Malgré ses origines origines, scénario est de nationalité nationalité. En outre, il/elle est actuellement occupation. Ses passions se tournent vers passion, passion, passion. Il/Elle est célibataire, en couple, marié(e), veuf/veuve, divorcé(e), etc et orientation sexuelle. Enfin, il semblerait qu'il/elle fasse parti du groupe groupe. À moins qu'on ne l'ait confondu avec Ashley Benson ?

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→ « Kéké, faut que je t'avoue un truc... » C'était dur pour lui de l'admettre, mais il fallait qu'elle le sache. C'était sa meilleure amie et même bien plus, puisque sa première fois c'était elle. Il y a quelques mois déjà. Une soirée un peu trop arrosée et c'était parti pour une nuit de folie. Depuis, ils faisaient comme s'il ne s'était rien. Elle était redevenue sa meilleure amie, sa confidente... « Vas-y parle Thony fait pas ton monsieurmystérieux ! » Ouais, c'était elle, c'était eux, ils se connaissaient depuis la primaire, elle était tout pour lui et s'il venait à la perdre il en mourrait surement. « Tu te souviens de ce qu'il s'est passé y'a quelques mois ? » La jeune femme hocha la tête, il continua. « Bah ça s'est aussi passé avec un mec... ». Elle était devenue toute blanche, il avait peur qu'elle tombe dans les vapes ou autre chose, il passa ses mains devant ses yeux. « Tu me reçois ? » « Attends attends Anthony... » C'était la première fois qu'elle utilisait son prénom en entier depuis dix ans. Elle devait être vraiment choquée. « Tu es gay ? » « Non ! Enfin... Un peu... Je suis bisexuel. »

→ « Thony, tu m'écoutes ? J'ai un truc à te dire ... » C'était sa Kéké, mais malheureusement pour elle, Anthony était occupé, il devait aller en cours même s'il était déjà en retard. C'était le cours de photographie et il ne voulait pas le louper. C'était sa passion après tout, il vivait pour la photographie, il respirait photographie. Bref, vous avez compris. « Désolé, mais il faut vraiment que j'y aille ! » Il prit une photo de la jeune femme et partit en courant pour ne pas rater son bus. Depuis ce moment-là, sa Kéké ne lui adressa plus la parole.