acey Solweig est né(e) le 16 Février 1987 à Hawaii dans une famille aux revenus plus que confortables. Il/Elle est fille unique. Malgré ses origines néo-zélandaise et anglaise, elle est de nationalité Américaine. En outre, elle est actuellement infirmière. Ses passions se tournent vers la fête, la photographie, la cuisine. Elle est fiancée et hétéro mais revenez après 4 ou 5 cocktails pour renégocier les filles si vous êtes intéressées pour le meilleur baiser de votre vie. Enfin, il semblerait qu'elle fasse parti du groupe don't stop the party. À moins qu'on ne l'ait confondu avec Dianna Agron ?

manipulatrice ; jalouse ; dragueuse ; sympathique ; sociable ; enfantine ; joueuse ; franche ; provocatrice ; impulsive ; espiègle ; fêtard ; têtue ; loyal .

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→ Je crois que ma mère ne m'a même pas touché quand je suis née. On voit toujours dans les documentaires, le bébé amoureusement posé sur le torse de sa mère, fatiguée mais heureuse. Mais les premières bras qui m'ont embrassé ont été ceux d'une autre femme. Une amie de la famille, c'est une chose que j'ai aperçue dans les photos de famille. Il n'y a aucune photographie de moi et de ma mère, en tout cas dans mes premiers mois. Quelques une avec mon père et très souvent dans son bureau mais la plus part du temps, je suis seule et on en voit que les mains de la nounou qui pointe la caméra. Mon père est ambassadeur dans une des villes d’Hawaï, autant dire qu'il est très occupé et très influent. Chaque Noël, il organisait avec maman, une fête et les semaines d'avant, la pile de courrier pouvait faire facilement concurrence avec celle du Père Noël. Quant à ma mère, elle n'était jamais à la maison, la période de Noël était importante dans son restaurant et elle faisait également le traiteur pour la fête de l'ambassadeur. Autant dire que j'avais plutôt pas mal de temps avec ma nounou et tous les jouets que mes parents me donnaient parce qu'ils se sentaient plutôt coupable. Et ce sentiment, en grandissant autant vous dire que je l'ai exploité pour me faire plaisir. [Diairy - Collège]

→Ashley me tape dans les côtes et déjà mon regard noir se pose sur elle. Elle fait une grimace l'air de dire qu'elle s'excuse puis me pointe du doigt Lukà, entrain d'embrasser la fille la plus vulgaire du monde et ensuite de partir au niveau des toilettes, mains sur la bouche. Je soupire et dire qu'on est fiancés et ce mot me brûle les lèvres rien que d'y penser. Je retourne au bar et prend un shooter, puis un autre et c'est à ce moment là, qu'une homme me demande de venir danser avec lui. J'examine sa demande une seconde puis je l'examine lui. D'accord, pourquoi pas mais il me faut un autre verre avant. Si je dois virer cette fille de ma cuisine demain autant profiter de ma soirée moi aussi. Et plus la soirée passe, plus les gars et les boissons défilent, un à un, ça devient même trop facile.. Un sourire et leur prote-feuille est open bar. Bien que l'argent ne soit pas un problème pour moi, j'aime cette idée. Sentant les effets de la vodka dans mes neuronnes, je souris et me lâche un peu plus. J'oublis ma vie, j'oublis tout. Quant à Ashley ? Aucune idée. Elle doit observer Lukà du coin de l'oeil parce qu'elle pense que sa vie m'intéresse. J'ai beau lui dire qu'il me dégoute, que je vois défiler toutes les filles qu'il jette une par une, sans respect, sans considération, qu'il fume, se drogue. Bref, qu'il a tout pour plaire quoi, elle n'y croit pas. Peut être qu'elle en pince pour lui et si c'est le cas, ce soir serait le bon moment -vu le niveau de torchitude où est Lukà- pour finir dans son lit et se faire jeter aussi rapidement qu'elle ai enlevé sa petite culotte. [Diairy – Année lycée]

→ On a entendu les mouches dans la salle à manger au style victorien de la maison. C'était d'un pathétique.. Mon père a prit du scotch, ma mère a parlé de la cuison de la viande et d'une de ses nouvelles recettes et puis, c'est tout. J'étais en face de Lukà et j'avais l'impression d'être une tapisserie. Ou une merde plutôt. Oui c'est ça. Comme si Monsieur était trop bien pour moi, il n'a pas ouvert la bouche même pas pour complimenter maman ou papa sur n'importe quoi. Ce qu'un invité est obligé de faire pour montrer un minimum d'intérêt. Je ne comprend pas pourquoi mes parents veulent absolument que j'assiste à ça. Une plante aurait très bien fait ce job, j'ai des examens mais le fait que la famille de Lukà vienne est bien plus important que mes études. Que dois-je comprendre ? Pourtant avant, ça n'était pas comme ça entre lui et moi, on parlait, on jouait ensemble, c'était un peu mon meilleur ami et ma nounou me taquinait souvent en disant que l'amour ça commence toujours comme ça. Mais j'étais petite et tout ça était très abstrait. Je ne dis pas que je suis amoureuse de Lukà houla non ! Surtout depuis que nous sommes rentrés au collège de la ville, Lukà n'était plus Lukà et puis moi, je n'étais surtout plus rien pour lui. Vexant ? Oui pas qu'un peu mais je m'y étais faite et maintenant j'ai mes amis et tout va bien. [Diairy - Collège]


→ Je crois que je n’oublierais jamais cette soirée. Elle avait pourtant bien commencé, le thème était super, j'avais trouvé la tenue parfaite, mon père m'avait donné assez d'argent pour que je me paie tout ce dont j'avais besoin. Mon masque était magnifique, incrusté de quelques cristaux qui pendaient le long de mon visage et dans les cheveux. Bref, je pouvais être qui je voulais ce soir là, on me disait hautaine, froide et fille gâtée maintenant je pouvais enlever cette façade et dire mes vrais raisons sans que personnes ne le sache. Un jeune homme avança vers moi et je lui souris, ses yeux étaient captivants et il avait une bonne conversation. Autant dire qu'on a parlé un bon moment avant de s'apercevoir qu'il était l'heure de danser. Une danse, puis deux, on a continué à papoter de tout et de rien jusqu'à ce que, la musique s'arrête qu'un adulte prenne le micro et que je sente une chaleur synthétique sur mon corps. Puis une annonce, des applaudissements et je crois que j'ai du prendre quelques dizaines de secondes avant de bien réaliser ce qu'il se passait. Et j'ai vu mon âme partir en courant en quittant mon corps. Voilà ce que je voulais faire, fuir de ton mon être. [Diairy – Bal masqué]

→ Au moins on était d'accord sur une chose: on devait tous les deux s'éloigner de nos parents un peu trop présent à leurs goûts, dans leur vie. C'est pour ça qu'on a choisit cette ville, bien loin de notre petit île, nos parents pensent qu'on prend le contrôle de notre vie de couple, qu'on construit quelque chose et nous on vit notre vie comme bon le semble. Comme deux colocataires. Je le vois très peu, on se croise parfois, on partage un lit mais on a deux couettes. On s'engueule, on se déchire pour tout et pour rien aussi. La nuit du bal masqué est bien loin maintenant et je crois qu'on essaye tous les deux, d'enterrer cette soirée au plus prochain de notre mémoire. Pourtant maintenant qu'on est tous les deux libres, que nos comptes ont été ouverts parce que maintenant on vit loin, on pourrait signer tout arrêter, prendre un appartement chacun et ne plus jamais se parler. Mais cette idée, n'a jamais été prononcé au sein de notre toit. Comme si, on s'était un peu acclimatés de l'un et de l'autre. [Diairy- Ireland]